En cette période de confinement, les femmes se retrouvent possiblement enfermées avec leur agresseur. L’inactivité est un facteur aggravant.. Le risque est donc encore plus accru pour toutes celles qui sont victimes de violence.
Les femmes ne peuvent plus téléphoner parce qu’elles ne sont plus seules, c’est donc aussi au voisinage d’être attentif.